RENCONTRE ESTIVALE…
Ressentant des chatouillis,
Au bout de mes doigts de pieds,
J’ai cru à une plaisanterie,
En ce plein mois de juillet.
Mais quand ton regard de jais,
Captiva mon attention,
Alors que je t’observais,
Je pris quelques précautions.
Je repliais ma serviette,
Histoire de faire semblant,
De te laisser la conquête,
Du lieu rendu distrayant.
Mais alors sans aucune gène,
Déjà trop proche de moi,
Tu jetais le sable blême
Jusque sur mon frais minois.
Plutôt que de te maudire,
J’ai préférée m’allonger,
En poussant un gros soupir,
La tête tournée de côté.
Mais je n’sais ce qui te pris,
Tout à coup de me faire ça,
Car comme un vrai malappris,
Qui ferait n’importe quoi,
Tu pinças ma fesse très fort,
Et je lançais un juron,
Je criais toi tu es mort,
Ce soir dans mon cabanon.
Tu semblais n’en avoir cure,
En me toisant de guingois,
Prenant cette piètre allure,
Qui me fit rire aux éclats.
Toi qui croyais m’échapper,
Te voilà nu devant moi,
Rouge, chaud, et écartelé !!
Mon crabe cuit, j’ai faim de toa…
Tit’can I
brillant !
MERCI pour le compliment, suis flattée
Amitié