Une femme sexy n’est pas une créature, mais une récréature.
La vraie connerie, c’est l’homme. La femme a toujours un lot de consolation à proposer.
Ah ! Si les hommes voulaient s’aider ! Ah ! Si les femmes voulaient céder !
Il existe trois catégories de femmes : les putes, les salopes et les emmerdeuses. Les putes couchent avec tout le monde, les salopes couchent avec tout le monde sauf avec toi, les emmerdeuses ne couchent qu’avec toi.
L’ingéniosité en amour, c’est comme la poésie en littérature. On peut s’en passer, mais c’est dommage.
La bonne affaire consisterait à acheter les femmes au prix qu’elles valent et les revendre au prix qu’elles s’estiment.
– Vous avez dû en voir de dures, ma pauvre amie !
– J’en ai vu davantage de molles !
Deux hommes se sentent confusément unis par la même femme, alors que deux femmes sont irrémédiablement divisées par le même homme.
Elle a un regard qui ferait sauter les boutons de braguette comme des balles de mitrailleuse si la fermeture Eclair n’avait pas été inventée.
Elle a l’air cruche, mais c’est le genre de cruche dans laquelle je me transvaserais volontiers.
Elle était salope à faire divorcer un curé fraîchement marié.
Elle est trop honnête pour être au lit.
Dans la vie, on est toujours seul. L’important est de savoir avec qui !
Sa femme est encore bien pour mon âge.
Le baise-main est un bon début : çà permet de respirer la qualité de la viande.
L’amour est à portée de toutes les bourses.
Mon Dieu, que votre volonté soit fête !
Biographie Frédéric Dard
Fils d’ouvrier, Frédéric Dard est éduqué par sa grand-mère qui lui donne le goût des lettres lorsque ses parents lancent leur propre entreprise de chauffage. Touchée par la crise économique des années 1930, sa famille déménage sur Lyon. Là-bas, il travaille comme journaliste. Regagnant Paris, il décide de se consacrer à la littérature et, nourri d’une ambition certaine, espère gagner un prix Goncourt. Cependant, ses oeuvres théâtrales ne lui apportent guère le succès escompté. Aussi crée-t-il en 1950 le personnage de San Antonio, un commissaire de police accompagné d’un adjoint ignoble, Bérurier. Rapidement, le succès de la série est établi, d’autant plus qu’il écrit comme un forcené, une véritable passion qui l’amène à rédiger plus de six livres par an. En 1966, il part vivre en Suisse et livre plus de deux cents romans sur la série ‘San Antonio’, tout en écrivant des oeuvres qu’il souhaite plus personnelles, et signe de son vrai nom. Gargantua de l’écriture, Frédéric Dard donne à la littérature policière un langage à la faconde inimitable, qui lui vaut l’admiration de Cocteau.
salut tit
jaime bien « deux hommes(…)même homme. »
le reste est plus convenu
merci qd même de nous rappeler le bon souvenir de ce cher disparu !…
ps: quoique « dans la vie(…)avec qui! » est bien aussi !