L’ÂNE
La jeune Sophia déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermier pour 1000 euro. Le fermier doit livrer l’âne quelques jours plus tard mais justement, à ce moment là…
Désolé mademoiselle, mais j’ai une mauvaise nouvelle: l’âne est mort.
Bien alors, rendez-moi mon argent.
Je ne peux pas faire ça. Je l’ai déjà tout dépensé…
OK alors, vous n’avez qu’à m’apporter l’âne…
Qu’est-ce que tu vas faire avec ?
Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser.
Il amène donc l’âne à la petite Sophia… Un mois plus tard, il revient la voir :
Qu’est devenu mon âne mort ?
Je l’ai fait tirer au sort. J’ai vendu 700 billets à 2 euro: ça m’a fait une recette de 1400 euro.
Et personne ne s’est plaint ?
Seulement le gars qui a gagné. Ce qui fait que je lui ai rendu ses 2 euro.
Sophia a vieilli et est devenue chef de l’UMP.
Et pour gagner plus, elle est toujours entourée d’ânes…
aime bien!!!
En fait à la base c’est une histoire drôle canadienne que j’ai remaniée à la sauce Sarkozienne car je trouvais que ça correspondait parfaitement à l’image…
Tit’can I