île Whitsundays, Australie
Une Île
Une île
Entre le ciel et l’eau
Une île
Sans hommes ni bateaux
Inculte
Un peu comme une insulte
Sauvage
Sans espoir de voyage
Une île
Une île
Entre le ciel et l’eau
Ce serait là, face à la mer immense
Là sans espoir d’espérance
Tout seul face à ma destinée
Plus seul qu’au cœur d’une foret
Ce serait là dans ma propre défaite,
Tout seul, sans espoir de conquête
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île
Comme une cible d’or
Tranquille
Comme un enfant qui dort
Fidèle
A en mourir pour elle
Cruelle
A force d’être belle
Une île
Une île
Comme un enfant qui dort
Ce serait là, face à la mer immense
Là pour venger mes vengeances
Tout seul avec mes souvenirs
Plus seul qu’au moment de mourir
Ce serait là, au cœur de Sainte-Hélène
Sans joie sans amour et sans haine
Que je saurais enfin pourquoi
Je t’ai quittée, moi qui n’aime que toi
Une île
Entre le ciel et l’eau
Une île
Sans hommes ni bateaux
Inculte
Un peu comme une insulte
Sauvage
Sans espoir de voyage
Une île
Cette île
Mon île, c’est toi
SERGE LAMA
Cette superbe chanson ici en vidéo
Pensez auparavant à stopper ma bande son deezer à droite
une belle chanson que jaime fredonner de temps en temps
tirée du spectacle napoléon, que jai découvert il y a pas mal d années , un soir très tard à la télé (jamais rediffusé depuis) et dont les chansons m’ont surprises par leur qualité ! on a été très injuste avec ce spectacle, dans lequel lama s est manifestement investi avec fougue et passion , et pour lequel il a été très inspiré .
salut, joli petit chamois
Suis tombé sur ce blog tout à fait par hasard. Que de choses intéressantes et le ton me convient bien. Continuez à entretenir et préserver ce lieu de sérénité ;) .
Puisque je poste à partir de la rubrique chansons, j’en joins ici une, en tant que modeste contribution personnelle, signée du grand Jacques… qui me fait chaque fois frissonner.
Les marquises
Ils parlent de la mort comme tu parles d´un fruit
Ils regardent la mer comme tu regardes un puits
Les femmes sont lascives au soleil redouté
Et s´il n´y a pas d´hiver, cela n´est pas l´été
La pluie est traversière, elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise, le temps s´immobilise
Aux Marquises
Du soir, montent des feux et des points de silence
Qui vont s´élargissant, et la lune s´avance
Et la mer se déchire, infiniment brisée
Par des rochers qui prirent des prénoms affolés
Et puis, plus loin, des chiens, des chants de repentance
Et quelques pas de deux et quelques pas de danse
Et la nuit est soumise et l´alizé se brise
Aux Marquises
Le rire est dans le cœur, le mot dans le regard
Le cœur est voyageur, l´avenir est au hasard
Et passent des cocotiers qui écrivent des chants d´amour
Que les sœurs d´alentour ignorent d´ignorer
Les pirogues s´en vont, les pirogues s´en viennent
Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font
Veux-tu que je te dise : gémir n´est pas de mise
Aux Marquises
No974 Heureuse de pouvoir vous amener un brin de sérénité par mes pages bien modestes.
Je vous remercie pour l’envoi de cette magnifique chanson de Jacques Brel dont j’ai plaisir à relire le texte, je vais tacher de mettre une vidéo sur lui.
Bien à vous ami internaute
Tit’can I