PRES DU RUISSEAU
Par un doux soir d’été, vous étiez mon ami
Revenu sur vos pas près du petit ruisseau
Vous en souvenez-vous ? Nous avions consenti
A cet appel grisant pressant nos fleurs de peau.
Oh comme il était fou ce grand trouble en attente,
Que ne calmaient en vain nos doux nids de baisers,
Dans ma paume de main vos lèvres douces, ardentes,
Hurlaient si tendrement cette soif d’aimer.
Le soleil se couchant nous mettant en panique,
De ne point trop savoir ce qu’il fallait ou pas,
Vous étiez repartis le cœur lourd en supplique,
Laissant mon corps perdu ainsi dans l’embarras.
Tit’can I
C’est beau et tendre,
J’espère que vous savez maintenant, « s’il faut ».
Ou que vous savez toujours et encore, « qu’il faut »!
Toujours un plaisir de passer,
Amitiés, Nilsthom
Excellent !!!
Tu m’as bien fait rire Nilsthom.
Toujours un plaisir de lire tes coms.
Je t’embrasse
Tit’can I
Qui donc oublierait un tel instant ? Excellent… En tous cas j’aime vraiment. :)
C’est la première fois que je pousse cette porte, par hasard, et une fois de plus il fait bien les choses.
Merci pour ce sympathique commentaire Loran.
Je vous souhaite la bienvenue sur mon blog.
Bien à vous ami internaute.
Tit’can I