Quand la mer d’Iroise se déchaîne ça fracasse !!!
Images de Jean-René Kéruzoré
Le phare d’Ar-Men (le rocher ou encore la pierre en breton) est un phare en mer construit entre 1867 et 1881 à l’extrémité de la Chaussée de Sein à la pointe ouest de la Bretagne. Il porte le nom du rocher sur lequel il a été érigéLe phare d’Ar-Men est l’un des phares les plus connus, en raison de son caractère isolé, des difficultés considérables qu’a présentées sa construction et du danger qu’il y avait à relever son personnel. Dans le petit monde des phares en mer, dont font partie notamment Kéréon, le Phare de la vieille ou encore La Jument, c’est sans doute le plus mythique. Considéré comme un lieu de travail extrêmement éprouvant par la communauté des gardiens de phare, il a été surnommé par ces derniers « L’Enfer des Enfers » . Il n’était pas rare que, dans des conditions difficiles de mer et de vent, on ne puisse pas relever les équipes tous les 15 jours comme de normal. Les coups de boutoir portés par la grande houle pendant les tempêtes faisaient trembler tout l’édifice et pouvaient faire tomber tout ce qui était accroché aux murs, rendant ces périodes particulièrement insupportables pour les gardiens.
Extrait de Wikipédia.
Impressionnant ! On ne domptera jamais la nature!
On comprends un peu mieux la rudesse extérieure des Bretons.
Faut vivre les pieds bien ancrés là-bas.
Amitiés, Nilsthom
Merci à toi Nilsthom
Plus une région est rude plus les caractères sont solides…
J’apprécie toujours tes commentaires mon ami.
Bises
Tit’can I