Gaspard Ulliel
LE JEUNE HOMME
Il nous offrait cette bouche folle,
Avec ses rires pleins les yeux
Qui rendaient les filles toutes drôles,
Le front baissé sous cet aveu.
Par le col blanc de sa chemise,
Son cou frais attirait nos yeux,
Et nous brulions qu’il nous courtise,
Mettant nos jeunes esprits en feu.
Nous tremblions qu’un seul regard,
Sur l’une ne s’étende insistant,
Une avalanche de désespoir,
Ravageait nos cœurs frais naissants.
Tit’can I