SOUS LE PORCHE
Vous étiez seul sous ce grand porche
Attendant qui je ne sais pas
Une main fourrée dans une poche
Vos yeux qui ne me lâchaient pas
Et quand je suis redescendue
De cet escalier sur la rue
Le porche devenu désert
Était gris comme un ciel couvert
Et je me suis mise à courir
Sur ce trottoir comme en délire
Où j’ai reconnu le veston
Un peu clair sur le pantalon
Alors j’ai ralenti mon pas
Puis vous vous êtes retourné
Et quand j’ai vu ce sourire là
C’est là que mon cœur est tombé.
Tit’can I
Suite et fin dans… SOUS LE PORCHE (2) et (3).