EN DECOUVRANT LAMARTINE

souche-dans-bois

EN DECOUVRANT LAMARTINE

En m’approchant de la Fontaine,
Près des Racine du petit bois
J’entendis criantes Corneille
Qui Voltaire tout près de moi

Dans un buisson plutôt Rousseau
Sur une Pierre de Ronsard
J’appâtais de frêles oiseaux
Apollinaire aux airs blafards

J’étais alors bien Malarmé
Quand je découvris Lamartine
Ses yeux Prévert alarmés
Prenant des airs de Courteline

J’eus cette douleur Verlaine
J’avais Baudelaire chercher
J’étais comme Molière en peine
Les Maupassant sans s’arrêter

Puis je me dis à voir Césaire
Faut pas précipiter l’instant
Boileau et cesse de vouloir plaire
Comme l’abbé en l’Atteignant

Ses Rimbaud ont de l’argument
Et c’est bien là toute La Chose
Arrête ton Char de boniments
Et conte-lui l’amour en proses.

Tit’can I

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2 réponses à EN DECOUVRANT LAMARTINE

  1. dominique bouy dit :

    Il est fabuleux ce texte. Dominique

  2. admin dit :

    Merci mon ami poète.

    Tit’can I

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