INSTINCT
Dans la chambre ombragée du désir charnel
Le voile s’envolait frôlant grisant d’appel
Et c’est de dos tourné qu’elle attendait l’instant
La courbure en bouquet, offerte, nue, présent.
La bouche s’attardait souffle mâle du lion
Dans les mèches éparses où elle allait cruelle
Imprimer dans le cou ses crocs en possession
Faisant d’elle son objet, sa divine femelle
Autorisant les mains voyageuses cavalières
A parcourir avides ses chemins de halages
Abandonnée soudain aux ardeurs familières
Elle se laissa monter la croupe sans ambages
Les paumes ramenaient délicates les courbes
Vers le tapis bouclé où frémissait son sang
Et dans ce va et viens voluptueux et trouble
Il sentait rejaillir le fleuve dense naissant
Dans un élan fougueux il accrochait sa bouche
De ses dents attisées par le terrible feu
Et dans la volupté de sa vigueur farouche
Il atteignit le spasme, insolent, délicieux
Alors dans un sanglot elle abandonnait là
Ses doux jeux libertins qu’elle aimait suggérer
Le ventre brûlé et chaud du subtil combat
Où il l’emportait loin, l’âme dépossédée
Tit’can I
Cahud sous l’edredon. Difficile à visualiser sans effets secondaires:-\ «
estérak
Des effets secondaires obtenus par certains vices de formes…
Merci de ta visite appréciée mon ami.
Tit’can I
Charmant poème, merci de cet instant
Cerbère
Merci de votre visite et commentaire sur mon poème.
Bien à vous ami internaute.
Tit’can I