BREVES DE COMPTOIR (humour)

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La philosophie dans les cafés, la violence dans les lycées, c’était mieux avant quand c’était le contraire !

Les vaches sont pas racistes, et pourtant c’est pas les races de vache qui manquent !

Avec leurs yeux, les chinois ils peuvent pas voir en haut, ils peuvent pas voir en bas, ils peuvent voir qu’au milieu.

Le plus grand intellectuel du monde, même pour les courses il se fait une liste.

Le clavecin c’est du piano sans les couilles à cause de la petite voix.

Quand on voit l’état de la chambre des jeunes c’est pas la peine de leur léguer une terre propre !

Souvent le geste qui sauve c’est le pied au cul.

Pour moi le plus grand couturier c’est celui qui a inventé le slip et les chaussettes.

Un impôt sur la connerie moi de toute façon je paierai pas !

A une certaine époque on faisait rentrer un jeune à la maison rien qu’avec un clafoutis !

Un stradivarius, tu pleures surtout si tu t’assois dessus !

Le cerveau se forme pendant l’enfance, et tout le reste du temps il se déforme.

Ce qui manque pour bien réfléchir c’est un guide pratique.

Notre corps est une prison mais il ne faut pas trop se plaindre, on n’est qu’un par cellule !

L’enfance de l’art, ça va jusqu’à quel âge ?

L’ennui, la chirurgie ne peut pas vous l’enlever.
Extrait de « Brèves de Comptoir » Jean Marie Gouriot (éditions pocket)

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2 réponses à BREVES DE COMPTOIR (humour)

  1. Ibi dit :

    De la bonne humeur, un humour de bonne table, on en a tous besoin
    je pense avoir vu cet auteur dans une émission de laurent ruckier si je ne m’abuse, il en a de bien bonnes
    Merci de me rappeler son nom car j’ai pas pu le noter
    Bonne journée

    Ibi

  2. admin dit :

    Ibi

    Il s’agit de Jean Marie Gourio comme écrit à la fin du post, il y a aussi le nom de l’éditeur et le titre du bouquin.
    Les brèves de comptoir sont des phrases amusantes qu’il a noté pendant des années dans les bars, et certaines sont parfois assez phylosophiques.

    Merci de ta visite.

    Tit’can I

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