IVRESSE
Lorsque je te regarde que tes yeux disent vient
Que ma langueur s’attarde lentement en tes mains
Te laissant en souffrance de cueillir ces instants
Où je me ferai danse de tous tes agréments
Parée de mes dentelles, j’inviterai mes reins
A glisser contre l’aine où tu brûleras soudain
N’ayant pour seul chemin que ton corps attisé
Et déclenchant soudain mon désir effronté
Avivant ton ivresse tes tempes seront sang
Mes mains folles déesses, ton ventre palpitant
Là, mordillant ta peau un moment gourgandine
Tu frémiras d’émoi à cette emprise divine
Je mènerai ainsi au gré de mes caprices
Cette danse d’éros où tu voudras encore
Qu’à l’aube de l’ultime ma bouche ne faiblisse
T’amenant au délice du plus fou des transports
Me laissant seule maîtresse te menant à mes jeux
Tu seras mon errance ma essence mon aveu
Affamés de prouesses mes sens seront feux
Étourdie d’un art d’être, plaisirs voluptueux
Tit’can I
Oui… oui… ça chauffe…
Nous sommes très loin de la chambre 39…
Et puis, je vois que tu t’y es mise, aux alexandrins…
Bravo !
Bisous
Roger
En effet Roger les alexandrins c’est ce que je pratique habituellement mais en les coupant…
C’est sûr que ni toi ni moi seront dans cette situation le 14… Heureusement parce que pour les tenues (comme sur la photo) on risquerait de ne pas se sentir très à l’aise sur scène…
BIZ
Tit’can I
Oui, tu as raison…
Si on adoptait la même tenue que sur la photo, j’en connais deux qui seraient contents du voyage… ton mari et ma femme…
Gros bisous
à samedi…
Roger