GRAND PRIX (poème loufoque)

GRAND PRIX

Viens par ici mon beau titi
C’est l’heure enfin de faire grand prix
Jette l’attaché case, le costard
J’aime bien quand tu rentres pas trop tard

Je viens d’trouver un truc génial
En plus il est sophistiqué
Pour le plaisir c’est radical
Ça donne envie de s’éclater

Allez allez c’est pas tout ça
Arrête de faire ton cinéma
Je sais que t’as eût ta journée
Fais moi plaisir viens t’amuser

Allonge toi vite sur la moquette
J’reviens tout d’suite j’suis presque prête
Le temps de changer de tenue
Dans le bureau y’aura court jus

Maintenant démarre le moteur
Je veux qu’ça aille à cent à l’heure
Virage à cent quarante degrés
J’me sens déjà émoustillée

Sur le bouton t’appuie trop fort
Arrête de changer d’direction
T’accélères trop mais tu as tort
Ça nous fait moins de sensations

Ben voilà tu peux être content
On a valdingué sur le sol
A trop vouloir gagner du temps
Toujours pareil j’en ai ras l’bol

C’est pourtant pas bien compliqué
Une fois pour toute je te le dis
Que je veux pouvoir m’éclater
Avec le beau circuit du p’tit.

Tit’can I

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4 réponses à GRAND PRIX (poème loufoque)

  1. Roger dit :

    Bonjour TitCanI…
    Tu nous a manqué pendant dix jours…
    J’adore ton humour à surprises…
    Je t’imaginais… sur la moquette… avec ton mari…
    Bravo !!
    Roger

  2. admin dit :

    Coucou mon fidèle Roger,

    Ben oui je suis de retour de mon périple en Bretagne où j’avais besoin de prendre ma piqûre d’iode… Et voilà le résultat au retour, je dérape encore… Bon oui cette fois sur la moquette, y a rien qui m’arrête, j’suis trop joueuse comme fille ça me perdra…

    Tit’can I

  3. artichaux dit :

    j’ai dérapé dans le dernier virage,
    je me voyais déjà au 7ième ciel,
    c’est 6 pieds sous terre que je suis arrivé.

    à force d’imaginer la scène de ton poème, je me suis fais mal…

  4. Tit'can I dit :

    Coucou artichaux

    Toi aussi t’accélères trop, faut modérer l’turbo.
    Bon promis dans le prochain poème chaud, ça finira bien jusqu’aux derniers vers…

    Merci de tes fidèles visites.

    Tit’can I

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