INFIDELE
C’était cette époque bénie
Où il faisait le tour du monde
M’emmenant toujours avec lui
Profitant de chaque seconde
Sa beauté faisait des ravages
Les femmes étaient folles de lui
Et dans la suite des équipages
Il se laissait aller la nuit
Il m’attrapait de sa main douce
Je tournoyais tout contre lui
Et j’adorais nos bains de mousse
J’avais ses faveurs moi aussi
C’était un homme tyrannique
Qui jouait fort bien du couteau
Alors je me tenais tranquille
Qu’il ne me jette pas à l’eau
Puis il connu cette jolie bombe
Il l’a trouvait tellement sympa
Elle était douce elle était ronde
Et pour elle il m’abandonna
Ma vie s’assécha ce jour là
J’me retrouvais sur le carreau
Il n’avait plus besoin de moi
Son vieux et fidèle blaireau.
Tit’can I
Pour ceux qui n’auraient pas comprit c’est du blaireau et de la bombe de rasage dont il est question…
Quel mufle!
Comme tu dis Val, et y en a un paquet comme ça qui ont abandonnés leur pauvre blaireau si c’est pas triste…
Elle est tristounette, ton histoire…
J’espère qu’elle n’est pas autobiographique…
Bisous à toi
Roger
snif,
bien imagée,
un blaireau solitaire
voilà une fiction ou un vécu, qu’importe habilement poétisé !!…notre société regorge de blaireaux !!…je suis bien placée pour le savoir, et des blaireaux au cerveau récement cité, il y en a des tonnes !!
dans tous les cas, j’imprime ton texte subtil et riche, comme d’hab !!
bises isa
Ben Roger si il était autobiographique mon poème ça voudrait dire que je suis un blaireau ?
Heu on va en rediscuter prochainement de tout ça hein…
Tit’can I
Je crois artichaux que tu sembles bien avoir compris de quel blaireau il sagit…
Tit’can I
Isa c’est sûr des blaireaux y en a un paquet et des blairottes aussi, tout autant à mon avis (elles ont peut-être moins de poils et encore c’est pas sûr…).
Merci de ta fidélité.
Tit’can I
je n’avais pas osé le dire, mais comme tu l’as fait, j’ateste !! il y a autant de blaireaux que de blairottes à poils et sans poils !!…vaste sujet..n’est ce pas !!!
bises isa