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Il y a deux analyses possible :
Ou bien, son père lui a transmis une joie de vivre et un optimisme enfantin qui l’aide à progresser
Ou bien, il regrette son irresponsabilité…
Alexandre Dumas (je ne sais plus si c’est le père ou le fils) écrivait des feuilletons qui paraissaient quotidiennement dans les journaux.
Pour pallier au manque d’inspiration qui le tenaillait parfois, il avait embauché un "nègre" pour faire ce boulot.
Tous les matins, en lisant le journal, il pouvait découvrir la suite de son feuilleton, avec sa signature, qu’avait pondu le "nègre" la veille.
Un matin, il apprend avec consternation que son "nègre" était mort…
Bien entendu, il n’a pas dormi de la nuit en imaginant la catastrophe qui s’abattrait sur lui lorsque le rédacteur en chef découvrirait la supercherie.
Le lendemain matin, il s’aperçoit avec surprise que la suite de son feuilleton était bien à sa place dans les colonnes du journal.
C’est comme ça, qu’il découvrit que son "nègre" avait embauché un "nègre"…
(anecdote transmise par Jean d’Ormesson)
Intéressante cette anecdocte sur Dumas.
Quant aux pères grand enfant ils peuvent être un peu des deux je crois, c’était le cas du mien qui riait comme un gosse de beaucoup de choses, et prenait néanmoins son rôle de père au sérieux. Tout est dans le dosage qu’il faut savoir trouver, et pour les mères c’est également la même chose.
Au sujet des relations père-fils, je viens de mettre en ligne sur mon blog : http://roger-marc.bloxode.com/ une très belle chanson de Georges Chelon, pas très connue qui s’appelle "Le père prodigue". Je la trouve très émouvante.