GUERIR

Guérir des autres c’est savoir qu’on est ni mieux ni moins bien qu’eux.

Tit’can I

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10 réponses à GUERIR

  1. Maryse dit :

    Alors la je suis entièrement d’accord !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  2. seb63 dit :

    entierement d’accord egalement.;)
    bise amicale sebastien

  3. admin dit :

    Bon ben si tout le monde est toujours d’accord je sers à quoi moi ?;):-h
    Tit’can I

  4. Roger dit :

    Non TitCanI, tu sers à nous faire réfléchir sur des sujets autant futiles que profonds…
    Guérir.
    Dans guérir, il y a guerre et rire…
    Deux mots qui s’opposent à priori…
    Si on fait la guerre pour rire, c’est plus marrant que de rire de la guerre.
    La guerre ne fait pas rire, mais le rire peut être une forme de guerre. Quand on lutte, c’est toujours bon de mettre les rieurs de son coté… Mais, si on se marre de tout… on ne fait plus la guerre à personne…
    Si on mettait ce sujet à la prochaine épreuve de philo…?
    Les pauvres gosses passant le bac vont entrer en guerre avec leur copie, et quand ils raconteront ça à leurs parents, ça ne les fera pas rire…
    J’ai l’impression que je suis sorti du sujet… Tu me pardonnes, TitCanI…?

  5. Maryse dit :

    Euh…………… Il a pris quoi l’ami Roger ? Guerre ? guérir ? Le rire est le propre de l’homme et le rire aide à la guérison donc dans guérir iy a gué comme gaie et il y a rir comme rire donc guérir c’est être gaie et rire… Euh non… ? @-) autrement il y a une autre étymologie qui est celle-ci :
    Guérir
    Ce mot vient d’un verbe allemand qui signifie garantir, protéger. Et en effet l’ancienne langue ne lui connaît pas d’autre acception. Au douzième siècle, guérir ne signifie que cela ; mais au treizième siècle la signification de délivrer d’une maladie, d’une blessure, s’introduit, et fait si bien qu’elle ne laisse plus aucune place à celle qui avait les droits d’origine. Que faut-il penser de ce néologisme, fort ancien puisqu’il remonte jusqu’au treizième siècle ? En général, un néologisme qui n’apporte pas un mot nouveau, mais qui change la signification d’un mot reçu n’est pas à recommander. La langue avait saner du latin sanare ; saner suffisait ; il a péri, laissant pourtant des parents, tels que sain, santé qui le regrettent. D’ailleurs, la large signification du guérir primitif s’est partagée entre les verbes garantir, protéger, défendre, qui ne la représentent pas complètement. Le treizième siècle aurait donc mieux fait de s’abstenir de toucher au vieux mot ; mais de quoi l’usage s’abstient-il, une fois qu’une circonstance quelconque l’a mis sur une pente de changement ?

    Euh j’ai la cocotte qui bout punaise j’ai plus de cerveau !

  6. Roger dit :

    Non, Maryse, je n’ai rien pris… même pas une bière avec la nana qui est restée un long moment avec moi dimanche soir….

  7. Maryse dit :

    Euh… Roger tu n’es pas obligé de raconter notre vie… Et puis tu pouvais pas boire de bière le bar fermait… Ben quoi quelqu’un à quelque chose à redire ! Hein !? Mais non Tit’ can i je ne parle pas de toi je sais que tu sais l’amitié entre hommes et femmes ça existent ! 🙂
    Moi t’embrasse Tit can I  😡

    Roger je ne suis pas une NANA ! Mais une Femme [-(

  8. admin dit :

    Bon ben moi je vais mettre tout le monde d’équerre; et le couvercle de la cocotte je m’en vais te le faire sauter et sans enlever la soupape si ça continue…
    Gay rire, voilà la réponse exacte. Et de quel pays me direz-vous ? Du pays de Candy, euh non du pays du plaisir… On se prosterne devant Tit’can I, les mains au sol…
    Roger tu nous avais caché que Sharon Stone avait répondue à ton rendez vous au Carré d’As, euh t’as du charme ok, mais un lieu un peu plus classe pour lui offrir une bière ça doit se trouver dans les environs non ?

    Tit’can I

  9. Roger dit :

    Comparer Maryse à Sharon Stone ?
    Ben, c’est pas flatteur pour Maryse…
    Entre les deux, je n’hésiterais pas un instant…

    Bisous à toi, TitCanI… et à Maryse aussi…. 🙂

  10. Estérak dit :

    ça , c’est la version dite « équilibrée » . Pour un hystérique incurable , « guérir des autres » , c’est resté persuadé qu’il est moins bien qu’eux , et qu’il convient de les séduire à l’infini pour les persuader du contraire . Un parano sera gouverné par la peur des autres. Un psychopathe , lui , restera indéfiniment persuadé qu’il est meilleur , même au fond de sa cellule , dan le couloir de la mort. Le pervers aura également tendance à se croire meilleur que les autres , et il cherchera à se le confirmer en les manipulant à l’infini…

    Hum . J’ai quand même l’impression que tu azppartient à la première catégorie@-) @-) @-)

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