Mes fils
Mes deux p’tits polissons
Ont bien remplit ma vie
Tornade dans la maison
Bagarres et joyeux cris.
Vous veniez tous les deux
Quand j’étais au fourneau
Montrer plein de fierté
Vos constructions d’légo.
J’ai ri de vos discours
Plein de compétition
De vos p’tits mots d’amour
M’donnant tant d’émotion.
Un beau jour sans prévenir
Les jouets sont rangés
Plus de cris de fou rires
Que le temps a passé.
Les légo sont restés
Tout au fond d’un placard
Je n’veux pas les donner
Ça me fout le cafard.
Comme je vous vois heureux
Aujourd’hui dans vos vies
Mon cœur est radieux
Vous restez mes petits.
Tit’can I
C’est difficile de décrire l’émotion que ce texte donne, maintenant que ma grande (qui était pendant 17 années l’unique fille) prends un appart.
L’évocation des petites choses de la vie.
Bien à toi, Nilsthom
Nilsthom
Si les départs des enfants sont espacés dans le temps c’est sans doute plus facile, chez nous ils se sont succédés assez vite.
Merci de ton com.
BIZ
Ca laisse un vide que Tit Can I comble en se payant la tête de la vieille canaille (Nilsthom dixit) que je suis.
:((
Kaissy
Disons que l’écriture évite l’effet « nid vide » et m’apporte en effet la joie de me payer ta tête qui est ma foi, on ne peut plus attrayante !!
Bises au poète canaille
Tit’can I