J’adore l’entendre parfois dans le platane, devant mes fenêtres comme là ce soir. Je me sens comme sur une autre planète dès que son cris traverse les murs de la maison. Aucun oiseau ne me fait cet effet, son cris tient de l’humain, et l’obscurité ajoute au mystère. Surtout on se sent vraiment à la campagne en l’entendant. Je pense qu’il niche dans la finière.
Tit’can I
ce texte mériterait développement…