TOUR EIFFEL

Tour Eiffel

De tes jambes écartées, tu invites impudique,
Des gens du monde entier, pour une mythique visite.

En fille de Gustave qui te voulait si belle,
Et t’offrit en cadeau une station météo,
Tu t’exposas alors, enfin universelle,
Voisine de Bir Hakem au sortir du métro.

Toute de résille d’acier ta robe de métal,
Attirant les regards chaque jour à tes pieds,
Du haut de ton sommet tu invites sculpturale,
A découvrir Paris de ton corps élancé.

Élégante, racée, dans ta splendeur phallique,
Fièrement tu t’exposes aux yeux écarquillés,
Silhouette mitraillée nuit et jour, unique,
Imposante, sublime, aux objectifs figés.

Quand inondant la nuit de lumières de fée,
Le Champ de Mars alors, ébloui s’émerveille,

De mille feux changeant irradiants ta beauté,
Fatale tu deviens aux reflets de la Seine.

Tit’can I

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2 réponses à TOUR EIFFEL

  1. Bacher dit :

    Bonjours,
    Zut alors, à quelques minutes près on aurait pu se rencontrer, mais on s’est peut être croisé sans le savoir?
    Je tombe par hazard sur cette photo, je la copie dans mon dossier « photos de Paris » et surprise!! le nom de dossier existe déjà? En fait c’est une photo que j’ai prise (dans la même minute que la votre) sur les quais de seine, mais, à 15H24, le 28 juillet 2008 je prenais un photo similaire à la votre que j’aurais bien voulu vous transmattre. Rien que pour le plaisir, parce que moi cela me fait une drole de sensation de voir une photo tirée le même jour au même moment qu’une des photos que j’ai tirées du même sujet.
    Continuez d’aimer Paris.
    Bien a vous.
    Un varrois.

  2. admin dit :

    Cette photo n’a pas été prise par moi,je l’ai simplement trouvée sur internet. Si vous souhaitez me transmettre la votre aucun problème, si elle me semble de meilleure qualité je la mettrais en ligne avec plaisir.
    Paris est une ville à redécouvrir toujours, en touriste c’est toujours agréable, mais y vivre pour moi c’est impossible, la masse de population me saoule très vite.

    Merci Bacher, bien à vous ami internaute.

    Tit’can I

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